vendredi 29 avril 2011

Ing! Zing!

Je sais. Je sais.

Ça fait longtemps que je n'ai pas écris sur mon blogue! Pour cause, j'en fais un autre en parallèle mais non publié que je compte mettre directement sur le siteweb de mon jeu.

Pour vous tenir au courant de mes avancements.. et.. bien.. ça l'avance! En plus, voilà deux semaines j'ai été sélectionné au concours de création d'entreprise de Québec au niveau local. Quelle joie. Un peu de reconnaissance ça fait du bien. J'y est donc terminé en 2ième place.

Mes jurys étaient le directeur du parc technologique de Québec, la directrice de chez BMO Québec et ainsi qu'un avocat chez BCE.

Du coup, le tout prend forme, les tests d'utilisabilité arriveront bientôt et c'est pour le mieux.

Twitter? http://twitter.com/#!/jeutribu

mardi 15 février 2011

Entrepreneur d’hier à aujourd’hui

J'étais entrain d'écrire un texte pour convaincre des jurys? Oublions ça, je préfère le mettre ici ce devenait trop sentimental.

L’envie de me lancer en affaire m’est apparu vers l’âge de 16 ans. À cet âge, je savais déjà que j’avais le goût d’améliorer et d’inventer quelque chose à l’aide de mon savoir. C’est donc à cet âge que j’ai commencé à prendre mes premières initiatives pour canaliser la motivation que créait chez moi ma forte ambition. Durant cette même année, je suis devenu président du comité des Jeunes-Entreprises de Québec à mon école secondaire. Nous devions créer un produit, obtenir du financement, le fabriquer et le vendre. Ma plus grande réussite, et celle qui me tient le plus à cœur encore aujourd’hui, a été de remplacer mon VP communication en plein milieu de sa présentation devant 900 personnes dû à un malaise. Le courage que j’ai dû rassembler pour improviser m’aura valu une mention spéciale lors de la remise de prix et une place parmi les meilleurs.

Par la suite, en grandissant, j’ai quitté le Québec à l’âge de 17 ans pour me trouver du travail à Calgary, en Alberta. Cet évènement créa chez moi l’envie de me surpasser et de me mettre constamment au défi. J’ai donc quitté le Québec une seconde fois à l’âge de 19 ans, suite à mon cégep, pour me trouver un emploi à Oxford, en Angleterre, pendant une demi-année. J’y ai appris à me débrouiller seul, et ce, sans l’aide de crédit et avec ma propre argent de poche. Suite à cette expérience, plus rien ne peut m’arrêter, mes limites personnelles ont été littéralement reconnues et surpassées. J’ai su ce que je valais et ce que je pouvais accomplir.

À ce jour, j’avais mis sur papier différents projets, tel une compagnie de t-shirt, une machine automatique à nourriture pour chien et un lit rétractable en bureau. Cependant, rien de tout ça ne représentait le potentiel que je recherchais. Du coup, j’ai entamé mes études universitaires en administration. J’ai été le président de mon équipe de management dès mon entrée à l’université (mauvaise décision) pour ensuite rejoindre une association internationale nommée l’AIESEC, ou je suis devenu, pour le temps d’une session, le représentant de celle-ci. Mon mandat était d’aller rencontrer les entreprises québécoises et de leur demander de faire affaires avec nous. Suite à cette expérience, j’ai décidé de me spécialiser en marketing et de quitter le pays pour réaliser une partie de mes études au Japon. Cette expérience, qui était beaucoup plus encadrée que celle de l’Angleterre, m’a appris à me poser, à observer et à comprendre plus en profondeur les individus avec qui j’interagis.

À mon retour à Québec, j’ai décidé de me lancer en affaires pour de bon. Le potentiel était palpable, je voulais ouvrir un karaoké de style asiatique. J’ai donc acheté le matériel nécessaire pour recréer l’expérience que j’avais vécu au pays du soleil levant. La demande était claire, tout fonctionnait sauf un élément et c’était un des plus importants; les lois canadiennes sur le droit d’auteur. Après consultations légales et malheureusement pour cette première entreprise, rien ne laissait place à l’innovation dans le marché musical et j’ai dû abandonner le projet.

Enfin, mon ambition étant ce qu’elle est, j’ai trouvé une autre idée : Tribu. Son potentiel est digne des grands du web, facile à réaliser et peu coûteux pour son démarrage. Bref, une combinaison gagnante. À l’aide de cette idée, je me suis inscrit au voyage d’entreprenariat  Laval en partenariat avec l'ITIN en France. Accepté, j’ai été, pendant deux semaines, le chargé de projet d’une équipe d’informaticiens et de designers de jeux vidéo afin d’échanger mes compétences entrepreneuriales et de structurer davantage mon projet.

Alors, voilà, je suis ici maintenant, aujourd'hui.

mardi 25 janvier 2011

L'important c'est le savoir et les contacts

Mon père m'a toujours dit : "Dans la vie il faut avoir du savoir et des contacts"

J'aborde dans le même sens, avec ces deux éléments il est possible de trouver solution à tous problèmes. Pour en rajouter, j'ai réalisé dernièrement la belle dynamique qui existe entre le coût et le gain de ce savoir ou de ces contacts. En fait pour n'importe quelle situation, c'est toujours le même processus.

Le mot d'ordre ici est optimal. Il faut trouver le compromis idéal entre ce qui est stratégiquement nécessaire et le coût d'obtention de ce qui est recherché. D'ailleurs le coût peut être exprimé en temps, en argent ou en échange.

C'est ce qui me plaît le plus dans le démarrage de mon entreprise. Décider ce qui est optimal et continuer avec cette décision. En espérant, évidemment, avoir pris les bonnes.

lundi 10 janvier 2011

Chu prette

1 couple sur 4 voit le jour grâce à internet (2009!).

Je vous recommande le film Catfish.

Le premier documentaire qui, selon moi, fait part des relations virtuelles devenant réelles. Excellent et vrai (pour ce que j'en sais).

J'ai eu une idée tout à l'heure. Une idée qui pourrait accentuer l'empathie. Je vais la marquer ici parce qu'elle m'intéresse et qu'elle a du potentiel sinon je vais l'oublier. Premièrement, il faut un spectre des profils psychologiques des régions cibles à qui l'idée sera offerte. Deuxièmement, il doit y avoir une conception de plusieurs situations qui permettra de choisir ces spectres de manières particulières.

C'est tout.
Sans détail puisque j'ai seulement besoin de me la remémorer.

Update de Tribu. À savoir, tout va bien. Tout se déroule comme prévu.

Étrangement, je ne suis guère expressif quand tout va comme je veux. Enfin, ça ne tardera pas à se compliquer, j'en suis sûr, c'est toujours comme ça, rien ne va comme on veut (heureusement).

Chap. 5 Énergie, 3 :"Pour l'armée, la possibilité de soutenir sans défaite l'attaque de l'ennemi est assurée par des opérations de la force "spéciale" et de la force "normale"

Chap. 5 Énergie, 5 :" En règle générale, engagez les forces normales dans un combat et servez-vous des forces spéciales pour vous assurer de la victoire"
Sun Tzu, l'art de la guerre

mardi 21 décembre 2010

Un Wire-frame pour la route!

Eh bien voilà. Mise à jour, et une belle grosse à part de ça.

Où j'en étais? La soumission, le sondage et le raffinement du jeu... de mémoire.

Pour commencer, la soumission chez MC2, un succès. J'ai mandaté cet organisme qui me fournit une équipe de stagiaires en design et une en informatique. J'ai présentement cinq personnes talentueuses qui s'affairent à créer le jeu dans son ensemble visuel. Le tout avec un engagement de finissions et la possibilité de continuité avec les stagiaires et/ou l'organisme lui-même suite à mon mandat. Nous seront ensemble pendant 18 semaines et pour le meilleur.

Pour tout vous dire, c'est formidable et je suis très satisfait de ce que ça promet.

Ensuite, la sonde. J'ai recueilli un échantillon de 40 entreprises d'un secteur particulier et les résultats sont positifs. Je connais leur pouls en ce qui à trait de leur intérêt à se faire connaître sur Internet et celui d'y créer une rétention auprès de leur clientèle. En plus, je connais maintenant leur budget, et je leur ai demandé s'ils voulaient faire affaires avec moi.

*SHH* Target localised! Get ready to move. *SHHH*


Et puis, le jeu! Deux upgrades ont été apporté dernièrement.

Premièrement, la Formule DKS (Dussault, Kelly, Savard) a été complétée. Cette formule a un effet de ballant et démocratise le jeu dans le but de stabiliser les différents acteurs de celui-ci. Concrètement, la DKS sera utilisée comme algorithme dans le jeu.

Deuxièmement, la conception de mon Wire-frame. Un Wire-frame est le dessin du visuel du jeu en bulle. Le tout collé sur un mur afin de relier tous ces bulles ensemble pour former un tout (le jeu). L'objectif après? Le regarder comme le ferai les policiers criminologues dans les films. Alors voilà, c'est ce que j'ai fais, le Wire-frame est comme qui dirait le nerfs de la guerre pour définir un bon mandat en profondeur.

Pour finir sur cette grosse mise à jour. Deux paraphrases de Schopenhauer pour votre plaisir intellectuel et pour vous aider à sortir le inner philosophe en vous.

"Le monde est parfait dans ses détails, absurde dans son ensemble"

"La seule différence entre le théâtre et le réel est la suivante : le théâtre prend appui sur le réel, le réel ne prend appui sur rien. L'existence humaine est donc une dramaturgie à vide. Conséquence essentielle : les "tendances" humaines n'ont pas d'existence réelle, elles ne sont que des représentations illusoires et figurées."

Joyeux Noël!

jeudi 25 novembre 2010

C'est moi ou eux?

Chocolat chaud pas très chaud à la main ce matin.

Hier, c'était le concours d'idées d'entrepreneuriat Laval. Une cérémonie qui offre de l'argent, entre 400$ et 1400$ dollars par faculté universitaire, pour des idées d'entreprises.

Je n'ai pas été sélectionné et je ne comprends pas pourquoi. Vous auriez du me voir, comme à l'habitude, j'étais sûr et certain d'obtenir ce quoi j'étais venu chercher. J'ai attendu jusqu'à la fin de la représentation pour voir si j'avais gagné. Je me disais que mon projet devait avoir été placé dans une autre faculté. On ne sait jamais.

J'ai du manquer quelque chose? J'imagine. Je ne sais pas, confusion ce matin. Mais qu'est-ce qu'il manquait à ma candidature? Je n'en sais rien.

Cinq personnes décident de la valeur de ton idée. C'est relatif et à prendre avec un grain de sel. N'est-ce pas? C'est moi ou eux.

L'effet que cela à sur moi? Ça se résume comme suit : "Ils verront bien quand j'aurai réussi".

Mise à part le concours, j'ai peaufiné le jeu, j'ai terminé la méthodologie de mon sondage, communiqué avec une certaine direction que je nommerai pas, reçu plusieurs candidatures et j'ai un rendez-vous avec le directeur de MC2 lundi prochain.

mercredi 17 novembre 2010

Dans la mine

La semaine a été plus courte que prévu et c'est tant mieux.

Je me retrouve seul et avec 100% des parts de ma compagnie.

Persévérance.

Ce qu'elle vaut aux yeux des autres présentement? 0$. Ce qu'elle vaut à mes yeux? Le prochain Facebook, un changement drastique dans l'attitude des gens envers leur consommation et un modèle d'affaires plus rentable que notre cher réseau social, mère de toute socialisation web.

Persévérance.

Cela m'a pris une journée pour me résilier, si ça c'est pas se virer sur un 10 cent, je suis un canard. Maintenant, mon mode de vie va changer, mes tâches sont multipliées par 2 et mon argent va descendre par 10. Une chance que j'avais une réserve de temps et d'argent en banque. Maintenant, je suis seul et je dois me trouver des gens talentueux.

Ah! D'ailleurs, le titre du post, dans la mine, parce que j'ai trouvé une grosse mine de clients potentiels (je l'avais sous les yeux et je l'avais même pas vu! Mauvais marketing *tappe sur les doigts*). Je m'apprête à les sonder bientôt.

Alors maintenant, j'échange de l'argent et un poste important au sein de Tribu et non des parts pour faire fonctionner ma business. S'associé à ses débuts lorsque c'est une idée personnelle n'est pas la bonne stratégie.

Retour en arrière avec une meilleure armure et une meilleure arc (meilleure visée) pour continuer.

Persévérance. La vie est un jeu.

En plus, 51%, ce n'était pas assez pour moi. Rencontre avec MC2 pour trouver des employés cet après-midi. Envoie des annonces aux techniques en jeux vidéos faites depuis deux jours.